jeudi 30 novembre 2017

Carnets dijonnais 3: "...et les vaches seront bien gardées"




Un dessin, ma foi pas très marrant, et même assez féroce, mais ce sujet de conversation revient si souvent lors de nos discussions entre collègues...



(je précise que ce dessin n'a rien, mais alors RIEN à voir avec ma prod' dijonnaise ! L'ambiance est super, et mes collègues sont charmants et pas du tout "schtroumpfs à lunettes")










Je précise également que je ne me pose pas en donneuse de leçons, car ça m'arrive encore de commettre cette erreur de débutante, mais après, je me donne intérieurement une grande volée de baffes dans la gueule !



Et vous, quel est votre point de vue ? Faut-il se permettre de signaler les éventuelles erreurs à ses collègues ? Ou bien laisser le chef de chant/chef d'orchestre dire ce qu'il a à dire, et garder ses petites réflexions pour soi ?
(personnellement, je me dis toujours que si je commence à dire aux autres ce qu'ils font de travers, ils vont me rendre la pareille.... et là, on n'aura jamais fini !)

mercredi 29 novembre 2017

Carnets dijonnais 2: "Paroles de collègues: La banane du baryton"


Avec ce dessin, j'entame un nouveau sujet qui reviendra de temps en temps sur ce blog: l'illustration de répliques marrantes de mes collègues, entendues ici et là, en coulisses, en répétitions, en audition, et qui ont fait "tilt" dans mon petit cerveau.



Voici donc, comme promis, la page 2 de mon carnet dijonnais:






mardi 28 novembre 2017

Carnets dijonnais 1: "Heureux malheurs..."



Une nouvelle production, une nouvelle ville: les Contes d'Hoffmann à Dijon !

Je passe mes journées en mise en scène et/ou répétitions musicales, mais les idées de dessins sont au rendez-vous, et, du coup, les crayons ne chôment pas !!! (sans doute parce que je fais le rôle de la muse...)

Voici donc, dans l'ordre de leur apparition dans mon petit carnet que je trimbale partout avec moi, mes petites BD dijonnaises.


1ère page, donc: une mini BD consacrée à notre état de santé les jours d'auditions, que j'ai appelée "Heureux malheurs". Vous-y reconnaîtrez-vous ?